Gollum



Dans les films de Peter Jackson, Gollum est modélisé en images de synthèse par la méthode de capture de mouvement sur l'acteur Andy Serkis.
Celui-ci prête également sa voix à Gollum, en lui intimant des sons proches de ceux que font les chats lorsqu'ils recrachent des boules de poils.
Le personnage n'apparaît vraiment qu'à partir du second volet, dans le premier il n'est que suggéré, lorsque la Communauté de l'anneau traverse les mines de la Moria.

L'apparence de Gollum, dans les films, est basée sur des esquisses et dessins réalisés par les artistes Alan Lee, John Howe, Daniel Falconer, Warren Mahy et Ben Wootten.

Les concepteurs de Weta Digital, Jason Schleifer et Bay Raitt, ont ensuite créé une marionnette numérique grâce à la capture de mouvement enregistrée à partir d'Andy Serkis, qu'ils ont ensuite remplacé, dans le film, par son double numérique.

« Gollum est, presque littéralement, un archétype de l'ombre, la partie de nous-même que nous craignons et refoulons le plus ; une créature qui est sortie des profondeurs de notre psyché et qui suit notre trace, nous rappelant en permanence ce que nous pouvons devenir. Le défi que constituait la représentation d'une telle complexité dans un personnage animé, généré par ordinateur, a été relevé avec enthousiasme par Andy Serkis et tous ceux qui se sont impliqués dans cette création. »

— Alan Lee, The Lord of the Rings Sketchbook.

 

Incroyable Hulk (1977)

 

Freddy Krueger  incarné par Robert Englund en 1984 dans Les Griffes de la nuit

 

>>> M le Maudit : premier film parlant, Fritz Lang 1931

Dernière modification par helv.elle (09/10/2012 04:20:30)

 

Oscar -Louis De Funès

 

Quasimodo Del Paris



R :

 

Superman



T :

 

Uruk-Haï -Le Seigneur Des Anneaux.

Les Uruk-hai sont plus forts que les Orques de base, et capables de combattre et de se déplacer en plein jour[1].

J. R. R. Tolkien ne donne pas leur origine exacte.

Bien qu'ils soient l'œuvre de Sauron et commencent à parcourir la Terre du Milieu en 2475 du Troisième Âge (vers la fin du règne de l'intendant Denethor Ier) avec leur apparition la première fois en Ithilien et leur assaut destructeur sur Osgiliath, ils furent également employés par Saroumane. Ainsi, un détachement d'éclaireurs Uruk-haï de Saroumane attaqua la Communauté de l'Anneau à Amon Hen et fut responsable de la mort de Boromir ainsi que de l'enlèvement de Merry et Pippin.

Très liés au sein d'une même compagnie, les Uruk-hai sont cependant hostiles aux autres Orques, avec lesquels ils se battent à la moindre occasion pour affirmer leurs supériorité face aux troupes de Sauron ; c'est d'ailleurs cela qui permit à Merry et Pippin, dans l'intrigue du Seigneur des anneaux, de s'échapper : ils auraient été conduits directement en Isengard si les Orques du Mordor n'avaient pas insisté sur la pause près de Fangorn (ce qui permit aux Rohirrim de les massacrer). Frodon et Sam, quant à eux, réussirent à s'échapper de la tour de Cirith Ungol grâce à un combat survenu entre les compagnies de Cirith Ungol et de Minas Morgul au sujet de la cotte de mailles de mithril portée par Frodon.

Dernière modification par hellboy (12/10/2012 10:48:03)

 

Rosemary Woodhouse (Mia Farrow, Rosemary's Baby, 1968)

 

Yoda

 

Ca vous dit, Géologie ? Volcan, fossiles ... plaques tectoniques ... et tsunami en tout genre ...

Dernière modification par helv.elle (14/10/2012 13:44:37)

 

Le Bezymianny
(le volcan sans non) repose sur les coulées et les produits du Kamen.



Après une période de repos de près de 1 000 ans (il était considéré comme « éteint »), une troisième phase éruptive débute le 29 septembre 1955, avec un premier séisme.
A l’époque le Bezymianny s’élevait à 3 100 m de haut et avait à son sommet un cratère de 500 m de diamètre.
Pendant trois semaines, plus de 1 000 secousses sismiques sont enregistrées.
Une éruption est en préparation et elle débute le 22 octobre, à 6h 30, avec l’émission d’un panache de cendres. L’activité éruptive ne cesse de croître et les cendres tombent tout autour de la zone, dans un rayon de 60 km.
Le panache de vapeur et de cendres s’élève à plus de 8 km au-dessus du cratère.
Le 17 novembre, les cendres sont si abondantes dans l’atmosphère qu’il est nécessaire de s’éclairer dans la journée.
En décembre, le volcan semble se rendormir et un dôme se met en place dans le cratère.
Trois mois plus tard, le 30 mars 1956 à 17h11, se produit une explosion paroxysmale accompagnée d’un terrible tremblement de terre.
Un immense champignon de cendres s'élève dans le ciel et atteint 35 km de hauteur.
Le Bezymianny est méconnaissable, son sommet est décapité. Une partie de son flanc est s’est effondré. L’éruption fut semblable à celle qui se produisit, 25 ans plus tard, au mont St-Helens aux Etats-Unis, en 1980. Mais cette éruption du Bezymianny fut moins suivie et resta un petit peu dans l’anonymat.
Le Bezymianny est le mont St-Helens Russe. Le flanc oriental poussé par un crypto-dôme s’effondre (à l’origine d’une avalanche de débris de 0,5 km3) et en quelques secondes ce dôme de lave proche de la surface est brutalement dépressurisée (à l’origine d’une explosion latéralement dirigée « blast »).
Ce blast dévaste plus de 500 km2.
L’épaisseur des dépôts de ce blast décroît en s’éloignant du volcan de 2,5 m à 4 cm (le volume des dépôts de ce blast est estimé entre 0,2 à 0,4 km3 et les dépôts sont constitués à 84 % d’andésite juvénile). Un autre dépôt très important concerne la colonne plinienne qui a suivi le blast. Cette colonne monta à plus de 35 km de haut. Elle fut accompagnée par des coulées pyroclastiques, dont la plus importante emprunta la rivière Sukhaya Khapista sur une distance de 18 km.
Autre résultat, le Bezymianny n’a plus la même morphologie : il a perdu 200 m de hauteur, et il laisse place à une dépression en fer à cheval de 1,3 km x 2,8 km et de 700 m de profondeur.
Le volume global émis est estimé entre 1,8 à 2 km3.



Un dôme se met ensuite en place dans le creux du nouveau volcan tout en émettant de temps en temps des nuées ardentes. A la fin de l’automne 1956 et jusqu’en 1965 le dôme croît lentement en émettant de temps en temps des nuées ardentes suite à des éboulements partiels du dôme. Ensuite, pendant 10 ans l’activité s’estompe. Des explosions se produisent de nouveau à partir de 1977, et depuis l’activité est ininterrompue et présente des phases successives d’extrusion et de destruction de dômes coulées.
Les plus fortes explosions :
Eté 1985
Explosion du 8-10 mai 1997 avec un panache qui est monté à plus de 4 km le matin et à 12-14 km l’après-midi. - Explosion le 5 décembre 1997, panache de 9 km au-dessus du volcan.
- Explosion le 24 février 1999, panache de 8 km au-dessus du volcan.
- Explosion le 16 mars 2000 : panache estimé à 5-7 km de haut.
- Explosion le 25 décembre 2002 : panache de 5 km de haut.
- Explosion le 26 juillet 2003, un panache de cendre monta à 8 km d’altitude, avec possibilité d’une coulée pyroclastique sur le flanc SE.
- Une explosion le 14 janvier 2004, qui produisit un panache de cendre de 7 km de haut. Le dôme de lave continue de croître

 

>>> les Diaclases

Depuis plus d'un siècle l'interprétation mécanique de la formation des fractures naturelles préoccupe les géologues tant du point de vue académique (comment l'écorce terrestre se déforme-t-elle en cassant ?) qu'industriel (réserves de fluides, gîtes minéraux). Les résultats de recherches interdisciplinaires menées depuis une dizaine d'années sur les diaclases (ou joints tectoniques) nous démontrent qu'elles



s'organisent en réseaux géométriques parfois très spectaculaires. La synthèse d'analyses de terrain détaillées et de travaux expérimentaux récents suggère que ces diaclases ne seraient que l'expression d'une dilatation localisée. Ceci a des conséquences sur la genèse des réservoirs fracturés et plus généralement, sur la compréhension des mécanismes de rupture des géomatériaux.